Sweet Chrome (fiche4-synopsis)

11 janvier 2022

Fiche4 synopsis image (P1050687-A)

Cette fois, après la partie scan, je commence directement avec une petite mélodie, thème sifflé. Ce qui va pouvoir guider/accompagner mon imaginaire tout du long, même au stade du tout premier résumé.
Et là encore, démarrer différemment, avec le titre d’abord : Sweet Chrome. Ou Chrome Sweet.

Des œuvres et des souvenirs :
Hook, je n’ai jamais vu le film de Spielberg en entier, mais j’avais acheté étant petit la version chez Castor Poche, que j’ai conservée précieusement. Ce nom et l’univers m’intriguaient, ainsi que cette affiche.
Gravé sur Chrome, c’est encore autre chose. Je me rappelle encore du jour très clairement où j’ai acheté ce bouquin. Pas dans la librairie principale de notre ville mais l’autre, sur la place du marché, qui vendait aussi et principalement des journaux, des fournitures, la « Petite Librairie » comme je la nommais. Avec mon meilleur pote de l’époque nous étions en balade. Et sur ce tourniquet métallique, dans l’arrière-salle parmi d’autres articles, nous sommes tombés sur cette couverture magnifique, qui nous a véritablement scotchés. Au point de débattre ardemment, presque se disputer (???!!!) pour savoir qui emporterait le morceau et ce précieux ouvrage chez lui. C’est un des épisodes dont je me souviens très clairement avec Rodolphe en cm2, et je garde encore ce recueil de nouvelles précieusement, avec l’illustration signée Barclay Shaw qui n’a rien perdu de sa splendeur ni de son pouvoir d’attraction.

Le synopsis : Sur Holly Greer, on sait peu de choses. Son passé est assez brumeux, et sa mémoire pleine de trous.
Mais peut-être que la jeune fille de porcelaine va pouvoir trouver des réponses auprès de ce chasseur de primes, ce détective bourru, et même lui en apprendre.
Car elle a la taille d’une ballerine, la délicatesse d’une plume, et le coupant du sabre japonais.
Le parrain du crime dans cette ville ne va pas prendre longtemps cette gamine à la légère.

D’autres références :
– Un manga, Jusqu’à ce que la mort nous sépare.
– Garder le côté conte, merveilleux, de l’œuvre emblématique signée J.M. Barrie.
L’enfance, l’innocence et la violence. Suivre cette piste.
Gunnm/Alita Battle Angel
Fonctionner/mise sur le contraste (plus encore que le scénario) entre une apparente fragilité, et une force cachée, la dureté de cette cité. Voir aussi le film animé Metropolis, Tima.

(Notes en écoutant aussi Natasha par Rufus Wainwright)

Fiche4 synopsis image (P1050676)

Petite présentation audio: youtu.be/Tu1Qyq7AE24

Le thème musical: youtu.be/vTr4wFRxOJo

YT 100

10 janvier 2022

2022.01.10 EMACHAN (P1050631)

Petit message pour marquer la publication de ma 100ème vidéo sur Youtube Emachan. Un palier symbolique.
Actuellement ça avance bien, je poursuis ma progression sur une archive et compléter enfin ma méthode d’écriture d’après ces vieux documents.
Que ce soit par rapport à mes débuts, la fin des années 2000 ou l’ouverture de ma plateforme YT en 2015, un sacré chemin parcouru, beaucoup de temps s’est écoulé. Mon regard se porte surtout vers tout ce que j’ai à faire encore.
Je suis heureux de voir des concepts/résumés enfin enregistrés au micro, inventer des scénarios c’est mon travail fondamental, mon but initial, et j’avais annoncé ça très tôt sur ma bannière: Récits, Musiques, Clips. Il était plus que l’heure que ça se réalise!!!! Et ça ressemble enfin à ce dont je rêvais. 
J’espère aller encore plus loin dans ce sens, vers des nouvelles ou pourquoi pas un jour des romans déjà sur le papier, et en complément, plutôt que de lire à voix haut mot pour mot,  raconter mes souvenirs, les coulisses, et en donner une version plus naturelle comme je résumerais une aventure/un épisode de ma vie à un proche.
Voilà pour mon ambition en ce début d’année très intense.
La suite au prochain numéro, toujours à 100% créatif.

2022.01.09 emachan youtube channel - 100 vidéos

www.youtube.com/channel/UCALv04ENzdEWQu9DrPvaDsw/videos

2022.01.10 EMACHAN (P1050620)

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Emachan Radio #4 : Petit bilan et news
youtu.be/ZlRyaFhJCnc

www.youtube.com/watch?v=gVKJN8ojMB8

Spreed (fiche3-synopsis)

9 janvier 2022

Synopsis3 - image (P1050508A)

Des œuvres et des souvenirs :
Concernant la photo, je peux dire justement quelques mots sur Ghost in the shell. J’ai notamment un souvenir d’une soirée manga/animation au Pathé Tours de l’époque. Une nuit à thème. Je me souviens d’Akira que j’ai donc eu l’occasion de voir sur grand écran… toujours excellent, et au bout du troisième film terminer avec la fatigue sur l’œuvre de Mamoru Oshii et ne pas apprécier plus que ça, être un peu perdu, déconnecté. Je fais partie de la minorité (me semble-t-il) qui préfère le remake américain. Pour moi c’est une véritable réinterprétation, avec un angle d’attaque très différent, là où le dessin animé est très cérébral et froid, millimétré, techniquement abouti et philosophique, je suis plus happé par la version live qui va sur le terrain des sentiments, avec un côté plus chaleureux, émouvant, charnel. Un traitement avec du cœur qui me correspond mieux, et donc finalement très éloigné de l’original. Donc un remake qui se justifie.
Garouage, un roman de la grande période années 90 J’ai lu « épouvante ». Ce bouquin attend depuis longtemps dans ma bibliothèque, et j’avais adoré les premiers chapitres. Un jour je sais devoir aller au bout de cette lecture.
Tonnerre Mécanique. Une série TV emblématique de ma jeunesse. J’avais revu des extraits, le premier épisode sur YT au milieu des années 2010 quand je faisais du baby-sitting. Je me réécoute encore assez souvent le générique par Tangerine Dream. Sans doute pas une série parfaite, mais clairement un thème qui m’inspire, un pilote et sa moto.
L’accident. Traduction du roman de Stephen King. Ça fait partie des œuvres que je possède mais encore jamais apprécié celle-ci sous sa forme littéraire car trop marqué par l’excellente adaptation qu’en a fait David Cronenberg. Dans le cas présent, c’est surtout le mot qui me parle, encore plus que cet épisode de Dead Zone avec la voiture percutée par un camion et le long coma qui s’ensuit, même si je pourrais évidement en tirer quelque chose.

Le synopsis : Une nana qui braque/attaque des convoyeurs de sang.
Une denrée qui est devenue rare, comme un trésor, depuis que la race humaine a muté et les gens se font remplacer les organes, toutes les pièces d’origine tendent à disparaître au profit de produits de synthèse.
Trouver du sang authentique, c’est désormais plus compliqué que voler une toile de maître dans un musée, tomber sur un gisement de pétrole, ou mettre la main sur un filon/une mine d’or.
Hag Sagane souffre d’une maladie qui la vampirise. Alors elle n’a d’autre choix que d’utiliser sa force et ses dons de pilote pour ponctionner suffisamment de fluide afin de tenir encore un mois, une semaine, ne serait-ce que la nuit prochaine…

Mon point de départ, après à moi d’emmener ce résumé dans des directions surprenantes. D’étoffer, creuser ce sillon.

D’autres références :
Penser aussi à Dark Angel, relation fusionnelle d’une fille avec sa « monture » motorisée.
Fut un temps, dans les années 2000, je bossais aussi sur un gros scénario intitulé Ex-pilote, avec une jeune femme victime d’un sabotage sur la piste, et récupérée par l’armée pour en faire une arme face aux gangs de bikers ayant gangréné la ville. Clairement, il y aura un peu le même ton, avec une touche de fantastique, vampire high-tech.
Dans l’animation, voir aussi les OAV Cyber City OEDO 808, juste géniales.
Je veux ce style, cette énergie, entrainant, létal, musclé tout autant que féminin. Sensible avec cette gamine victime d’une malédiction, ses gênes comme Max/Jessica Alba, violent, elle cherche une forme de liberté, survivre à son corps qui l’emprisonne, une société qui a changé et ne lui correspond plus du tout. Cette fille est une relique d’un ancien monde, elle n’y a plus sa place, mais va quand même se battre pour tenir encore un peu.
Parfois en période de déprime ou avec la maladie (diabète et aussi les soucis que ça peut créer dans les veines/les artères), je me sens comme ça, juste durer encore quelques heures.

Petite hésitation sur le nom de mon héroïne : Sakane ou Sagane, on verra plus tard. Pour ce détail j’ai pensé à Saya dans Blood the last vampire, une œuvre courte mais diablement marquante. A l’époque où je fréquentais les boutiques anime/manga de très près, j’ai acheté ce titre et regardé les bonus autant que ce moyen métrage des dizaines de fois.

Et le titre : Spread, Spred. Ou Spreed. Je songeais à Speed et je veux ce style frénétique, galvanisant, imparable. Il y a aussi le mot Spread, propagation, circulation.
A voir quelle orthographe je choisis au final, un mot commun ou alors un terme pas très académique qui synthétise à lui seul plusieurs définitions, différentes interprétations. 
Dans ce titre, court, j’aimerais bien un côté rapide, incisif. Impactant.
Je sais comment je pourrais justifier/expliquer cette orthographe, en renversant le a en e. je n’ai pas encore la raison exacte, mais aller creuser ça. Quelque chose avec un tag, une signature, une plaque d’immatriculation cramée… une inscription endommagée.
On trouve ça par exemple dans des œuvres du style Minority Report, avec un numéro de chambre faussé où un 6 peut se transformer en 9 ou inversement. Je vais utiliser ce genre d’astuce et ça me donnera une direction à creuser dans mon scénario.

Spreed P1050583-B6

Synopsis3 image (P1050549)

 

et des liens:
vers la présentation audio youtu.be/K9CvyEWAkHM

vers la démo youtu.be/fdPnjdJWVcU

Christina (fiche2-synopsis)

8 janvier 2022

Synopsis2 image (P1050486)

Des œuvres et des souvenirs
Sur l’actrice Rebecca Gayheart en photo : je l’ai vue il y a longtemps dans des slashers, des petits films d’horreur, mais je trouvais surtout qu’elle avait un visage incroyable. Et c’est dans un rôle de jeune femme aveugle à l’occasion de quelques épisodes de Nip/Tuck qu’elle m’a définitivement conquis, des passages très émouvants en plus. Sa carrière n’est peut-être pas grandiose, mais j’ai toujours vu un potentiel et c’est justement ce que j’aimerais mettre en valeur dans un récit.
Etude en rouge, c’est le titre d’un Sherlock Holmes. Je possédais un double volume Livre de poche (avec aussi Le signe des quatre), ça date d’il y a des années, quand j’étais au collège. Pas d’anecdote particulière, juste que j’avais terminé ce récit, le détective créé par Conan Doyle est fascinant et je comprends la passion des gens pour ses aventures.
Christine : je me demande si à la base le roman de King chez J’ai lu, avec sa couverture tirée du Carpenter, n’appartenait pas à ma sœur. Je l’ai récupéré bien plus tard, mais j’avais une autre version avec un format un peu plus haut et une illustration différente, un visage.
L’étranger de Camus, encore une œuvre que j’ai étudiée en cours, cette fois au lycée/en seconde à ce qu’il me semble. Je ne suis pas forcément branché sur les classiques, mais celui-là est très plaisant à lire en même temps que profond. Avec un vrai magnétisme dans le parcours atypique de son héros. Une atmosphère vraiment spéciale. 
Le cercle des poètes disparus : un film que je n’ai pas découvert sur grand écran, mais directement à la télé. En plus de 20-30 ans, j’ai dû voir ce film des quantités de fois, à des dizaines de reprises. Et je me rappelle encore à l’origine quand ma grande sœur l’avait elle-même vu, en larmes après sa séance, forcément ça m’a intrigué. Des acteurs mémorables, une histoire profonde, avec un vrai message, je ne m’en lasse jamais. Il y a des rôles qui marquent et les comédiens semblent tellement indissociables de leurs personnages, même ceux un peu moins connus et au second plan. Ce n’est pas la dernière fois que je m’inspire de ce titre, je sais avoir des tonnes (!!?) de notes qui reviendront à ce chef d’œuvre.

Le synopsis : Une jeune femme étrangère, extraterrestre, qui donne des cours du soir et se nourrit de ses élèves. Sans méchanceté, c’est simplement dans sa nature, sa culture.
Mais quand elle croise la route d’un recteur d’université qui chasse des professeurs juste pour le plaisir et la peur, elle change de point de vue, se décide à renier sa propre bestialité et traquer ce monstre.
Elle voit aussi mourir dans ses bras une jeune étudiante qu’elle ne pourra pas oublier, l’innocence à l’état pur.
Ainsi, elle se découvre un cœur, une forme d’humanité, change de régime, trouve un moyen de survivre autrement, sans faire de victimes, et passe à l’offensive pour contrer un véritable tueur sadique.
Un individu de sa planète, son espèce et sa famille, qui agit sans aucun respect.

D’autres références :
The Faculty, pour le côté horreur après les cours. Et des personnages d’outsiders.
– Une autre culture et le respect des proies durant la chasse, comme dans Avatar. Savoir remercier les êtres vivants, les honorer convenablement de l’énergie qu’ils vous cèdent.
– Le côté chasseur extraterrestre et la peur, dans Predator. On voit ça aussi chez King à l’occasion de son roman fleuve Ça où une créature ne survit que grâce au sentiment de frayeur qu’elle induit chez les enfants, ses cibles.
Et le titre : mon actrice jouait donc dans la série Nip/Tuck, passage très émouvant notamment par sa bande son avec Natasha interprété par Rufus Wainwright. En croisant ce prénom avec la voiture hantée de SK, ça donne simplement : Christina.

Synopsis2 image (P1050476)

Le synopsis audio
youtu.be/d3-Nu2wNkH8

Et première version du thème musical
youtu.be/h33gKXi2_LQ

2022.01.08 Christina démo (miniature YT 1C)

L’été déchiré (fiche1-synopsis)

7 janvier 2022

Synopsis1 image (P1050450-A)

Des œuvres et quelques souvenirs : Une fiche qui date de la fin des années 2000.
Une photo de Michael J. Fox dans Fantômes contre Fantômes de Peter Jackson. Aujourd’hui j’ai le long métrage en DVD collector, à l’époque en VHS, mais je me rappelle surtout avoir loué ce film au vidéo club de ma ville.
Parmi les noms que j’ai cités, il y a d’abord Enquête au collège, roman découvert dans les années 90, peut-être durant des vacances, à la neige, et tout ce que je cherchais étant jeune, une aventure, un mystère, au cœur d’une école. Les personnages adolescents. Ce qu’on aimerait vivre soi-même.
L’éditeur qui méditait, Les trois jeunes détectives, série dans la Bibliothèque Verte qui a été assurément ma favorite/la plus marquante après l’indétrônable Michel. Un repère dans mon enfance.
Croc-Blanc de Jack London, j’ai étudié ça en au collège, la version Livre de poche est toujours dans mon appart, l’autre chez Folio jeunesse qui m’avait servi aussi en cours doit se trouver chez mes parents. Si la version littéraire m’a plu, j’ai été aussi profondément marqué par l’adaptation Disney dans laquelle jouait Ethan Hawke, très émouvant.
Quant à La déchirure, à ce jour je n’ai encore jamais vu ce film, peut-être est-ce l’affiche qui m’a traversé l’esprit ou alors simplement un mot qui m’attire.

Le synopsis : Joey Barton est engagé (de force !!!) pour nettoyer le collège de fond en comble avec son paternel durant les vacances. Il espérait quand même plus palpitant.
Mais il n’avait pas prévu de croiser un chien particulièrement coriace qui rôde dans les parages.

D’autres références :
Une nouvelle de Stephen King Graveyard Shift/La créature du cimetière, et sa version long métrage, où un groupe d’employés doit aller assainir le sous-sol d’une usine.
Et puis The Sun Dog/Le molosse surgi du soleil, une autre histoire du même auteur extraite du recueil Minuit 4 avec un gosse confronté à un clébard pas vraiment commode. Terrifiant.

Des titres possibles : Gare aux blessures. Gare aux crocs. Mordu. Déchiré. Maxillaires.
Il y a La nuit déchirée que j’aime bien, d’après un scénario original de King. Et comme cette dernière référence est un peu à part, une œuvre que je ne connais pas vraiment au fond, je pourrais puiser dedans pour nommer mon récit.
L’été déchiré. Ou autre formulation, Déchire l’été.
A confirmer plus tard avec premier texte, puis version longue, mais je vais sans doute aller dans cette direction.

Synopsis1 image (P1050438-A)

La présentation audio
https://youtu.be/UGEZ-6N0DP4

La démo
youtu.be/eRUMK-EU_eQ

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