Etape 5: Les Textes

30 janvier 2022

Etape5 - Les Textes (P1050863A+)

Nouvelle phase créative, le pallier au-dessus, et l’enjeu continue à grandir.
Depuis que je suis enfant et tout au long de mon parcours j’ai toujours écrit des textes, des histoires courtes tenant sur une page, parfois un peu plus, parfois juste un paragraphe, terminé, avec une finalité ou juste des essais, une aventure à peine amorcée.
En prose, plus poétique, pour illustrer un scénario, décrire une scène en particulier.
Quand j’étais étudiant le soir au pensionnat, en étude, durant les vacances surtout, sur ma machine à écrire, directement à la main, au stylo, jusqu’à bien plus tard vers la fin des années 2010, publier quelques recueils, avec un aspect un peu plus professionnel. Un peu plus contrôlé.
Se lancer avec seulement un titre ou la première phrase, l’envie du moment, besoin d’exprimer un sentiment, ce qui me travaille à l’instant présent… et ne s’arrêter qu’après 30mn/1heure, avoir le sentiment accompli, la sensation d’avoir capté quelque chose, mis des mots sur un truc intérieur.

Etape5 - Les Textes (P1050886B+)

Partir sur du neuf, ne pas s’encombrer, être juste dans le présent, photographier un moment, comme dans un rêve se laisser bercer, d’image en image, et ne jamais reculer.
C’était mon approche durant les années 2010, au lancement de mon blog et sur tous mes premiers essais publiés.
Mais maintenant que j’ai assez goûté à tout ça, je souhaite élever l’enjeu, et puisque j’ai globalement progressé, étant un peu plus mûr, mes connaissances un brin plus étendues, je veux repartir en arrière, regarder dans le rétro et conjuguer ça avec les projets inédits que j’ai été incapable à l’époque de mener à leur terme.
Ajouter un ingrédient qui va compliquer cette tâche, mais surtout ajouter un affect tout particulier: donner vie à des projets mort-nés, faire en sorte que ces idées de jeunesse restées sur le bord de la route puissent enfin exister, décoller, renaitre, briller de tous leurs chromes.
Voilà ce qui me motive. 

Etape5 - Les Textes (P1050864A+)

Je sais que cette mission ne sera pas évidente, car si le format court ne bougera pas énormément, avec presque les mêmes codes une fois que la machine est lancée, devant mon ordi un mot, ne prolonger que lorsque les phrases me conviennent… il faudra désormais allier ce que je ressens au présent et un truc plus ancien, capturer un souvenir, rester fidèle à un concept de départ, des références, que ça corresponde à une idée déjà posée un peu plus tôt.
Un numéro d’équilibriste assez subtile, comme pour adaptation ciné: à partir de quand trahit-on l’esprit d’origine ou franchit-on la ligne du hors-sujet?
Trop naïf, trop inexpérimenté, je m’y suis souvent cassé les dents avec des scénarios trop amples/amitieux pour mes 15-20 ans.
Aujourd’hui, avec plus de pratique et de recul, j’espère pourvoir donner une seconde chance à toutes ces histoires esquissées qui dorment dans mes cartons, dans un avenir plus ou moins proche.
Et avec cet article, cette note d’intention puis quelques petites tentatives sans prétention, mettre tout ça à plat pour vérifier quelles sont réellement mes capacités.

Etape5 - Les Textes (P1050873A+)

Je suis curieux de voir ce qui en ressortira, si les images que j’ai en tête réussiront à se poser sur la page, et garder ma concentration, mon fil rouge, déjà dans un cadre très court.
Juste un germe d’idée, un résumé, c’est le début, comme mes synopsis dévoilés récemment et puis me propulser, échanger ça contre un texte à l’arrivée. Transposer aussi une liste de concepts en un sommaire jumeau mais en prose, un peu plus travaillé/détaillé. 
Et ça me remplit d’espoir, d’excitation pour l’avenir. Si je suis capable de donner naissance à une feuille, comme un teaser littéraire, avec des expressions appropriées, les mots justes, alors dans un futur pas trop lointain en croisant les doigts, possiblement plonger dans mes souvenirs les plus mémorables, manuscrits de 50-100p, scripts, brouillons assez avancés… avec seulement 30 années de plus au compteur. Il n’est jamais trop tard.

Etape5 - Les Textes (P1050879A)

Oui, cette étape sera un prototype en proportions réduites, et si ça fonctionne, ne faire que développer encore et encore cet exemple/cette base, pousser cette technique dans ses limites , sur d’autres sujets qui me tiennent vraiment à cœur. Toujours plus loin toujours plus grand… avec mes archives les plus précieuses. Mon enthousiasme de gosse que je prie pour ne pas avoir égaré en chemin. 

Etape5 - Les Textes (P1050872A+)

La note d’intention en audio
youtu.be/Vl42KDSt1t8

Etape5 - Les Textes (visuel2)

corsée

28 janvier 2022

Corsée - panneau article références visuel (1) version synopsis

2022.01.28 4h50
Nouveau projet Synopsis > Texte essai

Corsée
Partie Synopsis

Le résumé : Depuis qu’elle a pris un café le jour d’un braquage et aussi un coup sur la tête, Maylee retrouve la même sensation de puissance à chaque fois qu’elle absorbe ce breuvage.
Toute la violence de l’attaque qui coule dans son corps, ses veines… comme une décharge, mais elle devient aussi ingérable et son corps s’étiole.

Des références :
– Un lieu public où l’on se restaure, où l’on boit, qui se trouve pris d’assaut comme dans Pulp Fiction, ouverture et fin du film.
– Un pouvoir après un choc à la tête, comme John Smith dans Dead Zone. Long métrage avec Christopher Walken.

(Quelques notes/point de départ en écoutant Simple Tuesday par GusGus)

Corsée - panneau article références visuel (2) version texte

Partie Texte
2022.01.28 8h42

Le docteur Hardden me reçoit en urgence. Je crois que j’ai fait peur à la secrétaire avec mes tics nerveux et mes sautes d’humeur.
Installée dans le fauteuil trop étroit pour mes kilos en trop, je joue du piano avec mes doigts bardés de bagues multicolores sur mon genou au jean déchiré.
  – Encore un autre rêve ?
Ça me semble plutôt évident à lire sur mon corps traversé de soubresauts. Pas très perspicace.
Je voyais déjà régulièrement ce spécialiste recommandé par ma mère et sa meilleure amie Pam Guessivel, une adepte des longs monologues sur canapé, avant la prise d’otages au Tropical Corner, le café-restaurant qui marque la fin de notre pâté de maisons et où je fais souvent halte pour terminer mes devoirs avant le lycée qui se trouve à peine un kilomètre plus loin par des rues un peu crades mais seulement fréquentées par des clébards.
Ce petit-déjeuner spécial s’est produit la semaine dernière et désormais le rythme de nos entrevues est devenu journalier, voire précipité car je devance même nos rendez-vous, telle une bombe qu’on ne peut empêcher de sauter.
Le brave médecin est un familier de la superbe Pamela double-D, et sensible aussi à ma carte de crédit illimitée qui lui permettra de rembourser sa piscine avec un peu d’avance.
Des images toujours nettes qui me reviennent : les trois hommes entrent dans la salle presque vide, silencieuse, hauts les flingues, la jeune serveuse qui me faisait un clin d’œil en remplissant ma tasse il y a à peine une seconde vacille sur ses rollers fatigués, mais je la précède quand le chef de la meute accélère le transfert d’une poignée de billets tachés de la caisse vers son sac miliaire usé en me couchant d’un revers de flingue, j’ai sa crosse qui résonne et l’arôme brûlant au fond de la gorge, comme un bang énorme qui se finit sur le coin de table où je perds connaissance.
Depuis que je me suis réveillée de cette séance de rattrapage scolaire avortée, je me sens constamment sous pression , avec des bouffées de chaleur, manquant de souffle. Quelque chose qui m’obsède, grandit en moi et m’agite à l’intérieur. Une sorte de ballon gonflable nommé fureur qui se déploie dans ma poitrine faible et sous mon crâne.
Encore une fois, je lui déballe un discours identique, le scénario quasi au mot prêt. Et lui de me sortir le même conseil.

  – Peut-être devriez-vous retourner à la source faire face à cet épisode qui vous angoisse ?
Une évidence de plus, mais je ne sais pas pourquoi, peut-être la tasse encore chaude qui fume délicieusement sur son bureau métallique et verre grand style ce matin à 8h15, je me sens happée par cette chaleur, appelée par l’envie d’un arabica noir profond de mes petites routines qui me cognent en plein cœur avec un je ne sais quoi en plus.
Ce supplément qui fracasse, je vais le goûter dès la première brûlure sur le palais, au fond de mes poumons… comme une accélération interne qui se traduit par la porcelaine broyée entre mes doigts lorsque ma montre me prévient musicalement 10 minutes avant la leçon de Géo soporifique du vendredi en ouverture par le professeur Marvis aussi endormi que nous.
Pas une goutte de sang ou presque, un sentiment de puissance qui pulse dans mes artères, un poing qui me semble presque étranger.
Ce breuvage me fait péter le feu autant que la vaisselle, ce n’est qu’un début.
Et, première depuis l’attaque, je me sens en phase avec moi-même comme je ne l’avais jamais été. Finie la grosse aux cheveux gras mal à l’aise dans ses bourrelés, terminés les complexes du soir au matin, puis du matin au soir, sur le trajet, dans la cour, au dernier rang, au réfectoire et plus si affinités…
Un choc à la tête, une agression, et je me transforme en bombe nucléaire lorsque j’avale ma dose de caféine.
Je suis curieuse de retenter l’expérience et aller de plus en plus loin dans tout ce que la carte a à m’offrir ou même aller me booster à d’autres grains toujours plus épicés, comme moi j’espère.

(texte terminé à 9h29)

9h30 ça y est !!! On y est !!!
685 mots ce qui est tout à fait correct. L’idée de base bien ancrée sur la page, juste présentée légèrement différemment.
Mon personnage qui n’a pas encore de nom dans ce segment/cette ouverture, mais quand même un peu plus décrite avec son quotidien, quelques détails sur son apparence… des personnes de son entourage, ses habitudes…
Pas mal, assez sympa cette petite séance.
J’ai juste attendu d’avoir la bonne image, le bon déclic. Et que ça apporte vraiment quelque chose de neuf par rapport à mon résumé, je crois que c’est surtout une info qui a fait décoller le tout, les séances chez le psy comme nouveauté. Et là je me suis dit que je tenais quelque chose.

Je sais avoir pensé à N. une nouvelle de King avec un homme qui va parler à son thérapeute, et dont j’avais suivi les petits épisodes en mode BD animée sur Youtube.
Rien de tel qu’une nouvelle référence pour injecter une autre énergie et se lancer dans l’écriture.
J’en parlerai si je sors une vidéo, compte rendu d’après-texte/écriture.

Corsée - vidéo visuel (4A)

présentation de ce récit et concept
Analyse, références, making of audio/vidéo
youtu.be/ZV-tQCoIbfM
youtu.be/l9nSK1REk9Y

Corsée - texte (miniature2)

Ultra Os (fiche7-synopsis)

14 janvier 2022

Fiche7 ynopsis image (P1050806)

Des œuvres et des souvenirs :
Le premier Terminator, que j’ai eu un peu sur tous les supports, K7 enregistrée la TV en seconde partie de soirée probablement, puis VHS collection action/SF (200% action, ce boitier toujours chez mes parents), le DVD collector un des films de James Cameron qui m’ont initié à ce format avec multiples bonus passionnants… quand j’avais une dizaine d’années ce n’était pas mon Schwarzenegger favori, car trop effrayant. Terriblement sombre. Ce n’est qu’un peu plus âgé que j’ai identifié son réalisateur et appris à l’apprécier pour d’autres aspects.
Le club des cinq et le secret du vieux puits, un roman bibliothèque rose offert à noël par mon arrière-grand-mère (mémé Marie). J’ai encore l’image du moment où elle m’a tendu son cadeau. Sans doute un des bouquins qui m’ont peu à peu rendu les livres attachants, précieux. A chérir comme des trésors, et 30 ans après je l’ai encore.

Le synopsis : Babette et ses amis décident de prendre leurs sacs et aller explorer un coin de la région qu’ils ne connaissent pas.
Cette invitation chez la tante Katherine tombait à pic, car leur club était un peu désœuvré, au point mort après le passage en classe supérieure et plusieurs des membres qui ont suivi leur voie à part. Les laissant en trio un peu bancal.
Dans la forêt pourrissent des choses encore plus effrayantes que des animaux ou des arbres malades.
Ce qu’ils vont déterrer est impensable, cette machine… va les embarquer bien loin de chez eux. Vers de sombres/lents cauchemars.

D’autres références :
– La fin d’une époque, d’un groupe, où chacun suit sa route de son côté, comme dans Stand by me. Le corps, dans ce film d’après une nouvelle de Stephen King, un mort de leur âge, à cela je vais rajouter l’aspect sf/technologie vieillissante. Un cadavre de robot, comme point de départ.
Des gosses, on voit ça dans plein d’œuvres de S. King, également Dreamcatcher, Ça….
– Devoir se réinventer, retrouver ses marques. Se retrouver en trio comme Depeche Mode suite à la défection d’Alan Wilder, un pilier des premières années. Devoir mettre au point des nouveaux codes, se débrouiller avec ce qui reste/ceux qui restent. Et peut-être apprendre à se connaitre mieux.
Faire quelque chose de grand avec des membres éclopés, malades, un ensemble fragile.

Et ça s’appellera : Os-delà ? Ultra Os ?
Comme DM a perdu un musicien fondateur justement pour cet album, je vais m’inspirer de ce virage, juste avant qu’ils attaquent Ultra.
Et j’aimerais bien que ça les emmène vers des rivages malades, comme au début du second tome de La Tour Sombre, la blessure, délirer, une terrible fièvre…

Fiche7 synopsis image (P1050771)

1ère démo et présentation vidéo
youtu.be/aM6IfHPRYf0
youtu.be/ddr0QBlWOjc

fiche7 synopsis visuel 3

Silvercliff (fiche6-synopsis)

13 janvier 2022

Fiche6 synopsis image (P1050714)

Des œuvres et des souvenirs :
Pour une fois certaines de mes notes sont moins identifiables, un peu obscures dans ma mémoire.
Negima je connais puisqu’ayant lu (et relativement apprécié) Love Hina sur ses 14 tomes, j’ai souhaité découvrir l’œuvre suivante signée Ken Akatmatsu, son univers de magie scolaire.
American History X, un long métrage que j’ai vu au cinéma quand j’étais à la fac, un choc. Vraiment le genre de visionnage qui ne laisse pas indifférent, avec des acteurs géniaux, un propos. Il faut dire que j’ai toujours été fan d’Edward Furlong… un comédien qui dans mes jeunes années m’inspirait souvent. Et encore maintenant.

On en vient aux points plus brumeux. Concernant les autres mentions, j’ai vu qu’un film The end of violence existe, mais surtout car j’ai fait une recherche Google. Possible que j’en ai entendu parler en lisant des revues ciné à l’époque, mais je n’en mettrais pas ma main à couper.
Pareil pour L’été de mon secret ??? Un roman ? Ou alors une idée de titre perso que j’envisageais déjà à l’origine.
Rien n’est sûr. Mais quoi que ça cache, des mots qui orienteront mon récit, une atmosphère, brutalité, soleil et autre chose de plus mystérieux, étrange et même étranger.

Le synopsis : Benjamin Kappers se rend au chevet de sa jeune cousine qui souffre d’une maladie étrange depuis l’enfance.
Pas seulement pour lui apporter du réconfort ou alors pour profiter du bon air de la montagne, mais histoire aussi de s’éloigner de ses mauvaises fréquentations, les bagarres, son casier judiciaire qui commençait à se remplir.
Toujours en proie à des pulsions malsaines et dangereuses, il ne pensait pas en entrainant cette fillette dans une balade qui met la maison et ce village aux abois, découvrir à la fois une forme de rédemption, déterrer de quoi apaiser ses tourments, et un miracle également capable de guérir cette gamine.

D’autres références :
Zettaï Shonen : un manga sur une rencontre extraterrestre, et d’ailleurs le jeune héros de cette courte série animée m’a toujours fait penser à E. Furlong, DiCaprio, un côté marginal…
– Une malade et son frère dans Sous un rayon de soleil de Tsukasa Hojo. Je n’ai pas encore relu la série en trois volumes, mais par contre je suis allé vers la version courte durant mes vacances de noël.

Cliff Magic.
Je songe notamment à une chanson de la série Jem et les hologrammes qui a son mélange de technologie et merveilleux : Music is magic.
Au rayon soundtrack, sur City Hunter, on a aussi Just like magic, et en plus du nom de cette histoire, pourquoi pas aller piocher des sons, sampler ces deux pistes pour ma propre démo.
Dernière minute : une des séries que j’ai regardées étant vraiment jeune, Ricky ou la belle vie. Il me semble me rappeler un épisode avec le fils et le père en forêt, allant camper (des images du générique qui me sont restées en tête). Dans ce programme c’est le côté bons sentiments, et la partie bestiale à trouver dans les pages du roman Rage de Richard Bachman/Stephen King, un de mes fétiches parmi tous ceux qu’il a écrits au cours de sa longue carrière.

PS : ou SilverCliff pour faire écho à la série mentionnée plus haut avec Rick Shroder, en vo Silver Spoons.
L’ennui c’est que j’ai déjà pas mal de titres commençant par un s.

1ère démo et présentation audio
youtu.be/vEnpGRU2lY4
www.youtube.com/watch?v=CKrgzLDQHEQ

fiche6 synopsis (visuel5)

Quand la pluie s’inverse (fiche5-synopsis)

12 janvier 2022

Fiche5 synopsis image (P1050699A)

Quand la pluie s’arrête s’inverse.

Des œuvres et des souvenirs :
Les Agatha Christie, j’en ai emprunté un certain nombre à la bibliothèque déjà en étant ado, j’allais souvent jeter un œil dans ce rayon, et puis j’étais un inconditionnel des aventures de Poirot à la TV. Quand ça passait juste après le déjeuner, l’été notamment, je m’installais dans un fauteuil et rien ne pouvait me faire décrocher. C’était mon rituel.

Le synopsis : Le professeur Nellando/Nell Karonne et son assistant Billy Horpaz se rendaient à une conférence. Mais leur train se retrouve stoppé en plein nulle part, et les voilà confrontés à ce phénomène.
Ils vont aller enquêter aux abords d’une usine.

D’autres références :
Niveau atmosphère, ça ressemblera aussi au film français Le mystère de la chambre jaune, avec D. Podalydes dans le rôle de Rouletabille, un DVD que je me remets très régulièrement. Ce long métrage qui commence d’ailleurs aussi par un épisode en train.
Explication du titre et origines : une astuce de James Cameron. Dans le making of d’Aliens, pour donner l’illusion que le Facehugger se jetait au visage de Ripley, les images avaient été inversées, et un détail qu’on ne remarquait même pas, les gouttes d’eau du système anti-incendie se mettaient à remonter du sol au plafond.
Pluie, j’ai en tête une photo de Sienna Guillory et également Milla Jovovich à la fin de Resident Evil Apocalypse, des scènes coupées. J’irai aussi piocher dans cet univers, fantastique, action, manipulations scientifiques. Voir aussi le labo dans Paycheck.

Démarrer par un côté détective puis emmener ça vers un côté action/catastrophe. Evoluer, changer de style, de genre. 

Hypothèse: tout cela a peut-être commencé par une mauvaise farce, un jeu de gosses (voir trio Les trois jeunes détectives) et ensuite ça s’enlise dans un temps pourri (Hard Rain/Pluie d’enfer, à propos duquel j’ai écouté un podcast Steroïds/Capture Mag il n’y a pas si longtemps).

Synopsis audio/vidéo et 1ère démo

youtu.be/R829jNLRsJg

youtu.be/tQwrsF6ZZzE

Fiche5 visuel (4) démo

123456...78