Archive de la catégorie ‘sable noir (album)’

Sable Noir (instrumental)

Lundi 20 janvier 2020

Le soldat écrase une moitié de crâne de sa botte métallique...
Désormais, il est possible de lire les textes issus de l’album Sable Noir (publié en 2014 sur ce blog) avec, comme musique d’ambiance, le petit morceau ci-dessus. Pour que les textes comme Post-Mortem, Ex-corrompue ou Projection fin du monde soient encore plus des petits films qu’on se fait dans sa tête.

Album complet (textes et visuels) ici
www.emachan.unblog.fr/category/sable-noir-mini-album/

emachan youtube  musique vidéos (20.01.2020)
Ma chaîne créative EMACHAN Youtube
catalogue ci-dessus début 2020
environ 4 ans après son lancement
www.youtube.com/channel/UCALv04ENzdEWQu9DrPvaDsw/videos

Je poursuis ma petite série de vidéos musicales démarrée la semaine dernière.
Ici, j’ai repris et réinterprété l’ancienne image titre de ce qui a été mon premier mini-recueil publié. J’ajoute une autre dimension avec l’audio, pour créer encore plus une atmosphère globale, de l’immersion.
Tout en expérimentant encore plus avant sur les visuels/illustrations. Pour essayer de créer une mosaïque intéressante, un ensemble varié. 

Emachan - Sable Noir (visuel 2014)
Sable Noir album (2014)

 

Emachan Instrumental - Sable Noir (visuel)
Sable Noir instrumental 2020

sable noir

Dimanche 27 juillet 2014

KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERA

sommaire:
1. Le sale come-back
2. Playing Dead
3. Night Z
4. Tech-sentinelle
5. Post-mortem
6. Kill the Kamikaze
7. Projection Fin du Monde
8. Skin reward: le prix de la peau
9. Le ranch enragé
10. Haunted Road
11. ex-corrompue
12. Le retour du magicien

le retour du magicien

Jeudi 24 juillet 2014

le magicien

ex-corrompue

Jeudi 24 juillet 2014

Soleil frappé, tête qui tourne.
Elle fait claquer la portière de la voiture, ses rangers qui arpentent la route mouillée de couleurs fluorescentes.
Sa main ivre, tremblante, jette l’insigne dans une poubelle gavée d’épluchures, son arme restée à l’appartement, le magasin vide : Luna ne représente plus la loi.

Dans le hall d’entrée, des cigares gros comme des troncs d’arbres s’affrontent en duel.
Une usine ferme au Népal, une ferme s’écroule en Arkansas, un sous-marin coule sous la banquise.
Des sujets importants, des conversations de salon, qu’elle bouscule d’un coup d’épaule. Un ventre rebondi et un gros œil derrière un monocle qui la prend pour cible, la colère qui lui griffe le dos, mais elle poursuit vers l’ascenseur des dirigeants.
La tour s’arrête au 53ème étage, sous les rejets chimiques de la grande cheminée, le phare de la ville.

Un large bureau, des gants en cuir, la toile d’araignée tatouée dans le cou, un sabre capable de trancher la lumière : Max Van Dyke se ressert un « Acide Tropique », le dernier cocktail à la mode.
Racheter des toiles de maîtres, couler des immeubles. Acheter les policiers, les dealers. Un sourire en coin et un goût piquant au creux de l’estomac : le cash, l’excitation et l’acide fruité.

Des gardes aux yeux exorbités. Une trainée de sang dans l’escalier. Le portique de sécurité qui crie et crache la fumée.
Luna Libano brise son poing sur la porte massive, efface le pouvoir de Van Dyke d’un coup de botte, la mâchoire collée au mur, ses dents en or qui mangent le tableau et le coffre fort.
Belle journée pour démissionner.

Haunted Road

Jeudi 24 juillet 2014

Haunted road

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